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La saga du Kung-Fu / vol.2 : Le moine d’acier – Warriors two

Publié 23 janvier 2015 par ericmatthiou

Le moine d’acier – Le premier film de Samo Hung qui se caracterise déjà par son style. Le film degage tout de même une drôle d’impression (avec ce melange bizarre humour / drame avec les scene de viol) mais possède de bons combats bien chorégraphiés. On regrettera un manque de rythme aussi.

Warrior two – Beaucoup plus réussi que le moine d’acier (notamment vis à vis des chorégraphies de combats), Warrior two est un veritable bohneur pour les amateurs de boxe Wing-Chun.

Pour les 2 DVD:

. Présentation trés interessante du film

. BA des films HK (Perfect Blue, le temple du lotus rouge, blade of fury, le chinois se dechaine, fist of legend, le roi singe, tai tchi master, butterfly mruder)

. BA du film / filmo du réalisateur / Gallerie de photo & lien internet.

Le moine d’acier – Bonne copie, l’image est tout à fait satisfaisante si on tient compte de l’année du film. Les couleurs ne s’affichent pas vraiment avec bonheur (les années sont là), les contrastes sont honnêtes, la definition satisfaisante et la compression relativement bien géré.
Warrior two – Correctement compressé (quelques petits defauts tout de même), l’image (là aussi copie restaurée) proposé est fort honorable compte tenu de l’année du film, on regrettera principalement une definition qui laisse à desirer & des couleurs plutôt ternes.

Le moine d’acier – Un remix pour la VF (pas terrible en plus le doublage) en 5.1 qui n’en a que le nom!!! En effet, tout se passe à l’avant et pas de facon concrete qui plus est. La VO 2.0 ne brille pas non plus par son rendu mais demeure plus naturel.
Warior two – Là aussi un remix pour la vF en 5.1 de pacotille, la VO 2.0 ne casse pas des briques non plus.

La route d’El Dorado

Publié 10 décembre 2014 par ericmatthiou

Tulio et Miguel, deux compères vivant au jour le jour, rêvent d’or et de richesses. Ils gagnent un jour (en trichant tout de même) la carte qui indique le chemin d’El Dorado, une cité prodigieuse toute en or. Un peu malgré eux, ils se retrouveront dans le bateau de Cortez et braveront les pires dangers pour trouver l’objet de leurs désirs.

La route d'El Dorado

Malgré un départ enjoué et rythmé, ce dessin animé s’englue dans des tonnes de chansons et en oublie le suspens et les rebondissements. C’est fort dommage car l’animation et les personnages sont particulièrement bien réussis, de plus le scénario plus adulte, bien qu’accessible aux plus petits, rend le film plus intéressant.

La musique fort banale de l’ami Elton John banalise encore plus le produit. Beaucoup de moyens, pour un beau dessin animé, mais qui manque cruellement d’entrain et fini par nous ennuyer. Les chansons trop présentes cassent le rythme et l’on a l’impression qu’elles sont là pour combler les trous du scénario.

On est passé à côté d’une belle réussite !

Arf, tous les bonus en VO satisferont à coup sur vvos enfants ! Quelle idée de ne traduire aucun suppléments, un effort Dreamworks, s’iou plait ! Alors vous trouverez le commentaire des réalisateurs, les coulisses du tournage, les principes d’animation, le clip de la BO, la bande-annonce et un livret de 4 pages contenant les notes de production.

Superbe, aucun défaut apparent, rien à signaler …

Très dynamique et pleine d’effets, elle utilise pleinement tous les canaux de votre installation.

La rivière

Publié 26 novembre 2014 par ericmatthiou

La rivièreTom et Mae sont un couple de fermiers qui ont d’énormes difficultés à vivre de leur exploitation. Les crues de la rivière chaque automne détruisent leurs récoltes et menace cruellement leur exploitation. Joe Wade, un homme riche et puissant de la région, souhaite racheter les terres des fermiers pour construire un barrage et une centrale électrique, privant ainsi ces hommes de leur travail et de leur vie. Pour cela, il utilise ses relations pour exercer des pressions sur les familles …

Ce film, nominé 4 fois aux Oscars ®, relate assez bien les difficultés des agriculteurs américains, et surtout les petits fermiers indépendants qui finissent par être progressivement englobés par de grandes coopératives. Il tente une immersion dans les rapports humains et les combats des hommes pour préserver leurs racines.

Mark Rydell réalise un bon film mais qui manque d’un réel entrain, d’une vraie profondeur et d’émotion pour nous attacher davantage à l’histoire et ses personnages. L’interprétation n’est pas en cause, et le trio d’acteurs est plutôt bon, cependant il en faut plus pour faire un grand film.

Un bon moment de cinéma, mais un sujet pas assez fouillé, des thèmes à peine évoqués qui auraient mérités d’être plus approfondis … Une bonne location.

Bande-annonce d’une qualité médiocre, filmos, notes de production et lien Internet vers le site de l’éditeur.

Belle colorimétrie mais pas mal de grain, de poussières et des problèmes de compression, bof !

Pas de relief en français, étant que l’on nous gratifie d’un bon vieux mono, clair mais pauvre …

La revanche de Freddy

Publié 8 octobre 2014 par ericmatthiou

Suite au succés des griffes de la nuit, New line, histoire de ramasser le
pognon, lance cette suite avec un peu trop d’empressement malheureusement.

La revanche de Freddy

En effet, s’il regorge de quelques bonnes scènes (certaines bien marrantes), ce second opus réalisé par Jack Sholder (qui signera par la suite Hidden) n’entretient, pour ainsi dire, aucun rapport (si ce n’est le Freddy) envers les autres opus de la série.

En effet, comme le dit Robert Englund dans les bonus, Freddy agit dans les cauchemars, ce qui n’est pas vraiment le cas ici.

Au final, un opus assez intéressant tout de même (et pas le pire comme on peut le dire, de ce côté là la palme revient plutôt au 5eme opus) même si le concept adopté sera -fort heureusement- annhilé par la suite.

. Les cauchemars – accées aux scènes de cauchemar du film.

. les documentaires (VOST) :

Un nouveau héro (6’22) – Robert Shaye revient sur le succés des griffes de la nuit et du besoin de faire une suite afin de rammasser le pognon vu que New line n’était à l’époque qu’une petite boite et marchait pas vraiment. Le réalisateur Jack Sholder explique sa venu sur le film et Wes Craven s’exprime sur son refus (scenario pretexte à des efx) de faire cette suite.

L’érotisme de Freddy (3’27) : Rachel Talalay (qui réalisera le 6) revient
sur la conception d’une suite rapide des Griffes de la nuit puis Le réalisateur parle de son acteur principal et sur le caractère Gay de son film. Robert Englund fini en disant que le film ne respecte le fait, instauré par Wes craven, que Freddy tue via les cauchemars.

Le maquillage de Freddy (2’46) : Kevin Yagher explique comment il s’est
retrouvé sur le film et sur son travail.

La parade de Freddy (5’24): On revient sur le succés du personnage, la publicité faite autour de lui & l’acteur Robert Englund parlant de son perso.

. BA en DD 5.1 & filmos

Si L’image a été remasterisé, le poid des années est malheureusement là et ca se voit à l’écran. Elle demeure correcte dans son ensemble mais bon, il n’empêche, la définition est plutôt moyenne, les contrastes pas aussisoutenu qu’on pouvait l’espérer et même du côté des couleurs c’est pas vraiment ça.

Remixé en dolby digital 5.1, les 2 pistes manquent de conviction point de vu rendu pour être probantes (rien qu’au niveau de la BO c’est pas ca). Pas un mix de pacotille mais bon on en est pas loin!

La reine des damnés

Publié 26 septembre 2014 par ericmatthiou

Rappel des faits, en 1994, Neil Jordan adapte Entretien avec un vampire.

Le film n’est pas sans problème, Anne Rice qui a laché les droits de ses 3 books à la Warner monte au crenau a cause du choix de Tom Cruise pour le rôle de Lestat.

La reine des damnés

Pourtant, après la vision du film, Anne Rice se fend d’une lettre d’excuse et le film devient un classique.

Quelques anées plus tard, voyant que les droits allaient à leur terme, les producteurs lancent cette suite qui mèle Lestat le vampire (le melleur book qu’on verra sans doute jamais adapté snif) & la reine des damnés. C’est surout ce dernier qui est pris en compte ici.

Et la deception pour les fidéles des écrits de Rice est de rigeur!

En effet, le script met au placard Armand, Louis sans oublier la mère de Lestat ou encore trahit ses origines (il a failli renter dans les ordres si si), sa quête et sa rencontre avec Marius (complètement sabordé ici). Et je parle pas du reste..

Le pire c’est qu’Anne Rice a soutenu ce film même après l’avoir visionné. Un comble!

m’enfin toujours est il que si vous n^’avez pas lu les romans et que vous faites abstraction du film (difficle mais pas impossible) de Neil Jordan, cette reine des vampires (rien que pour Aaliyah) se laisse tout de même regarder pour peu que vous ne soyez pas trop exigeant.

A sauver du film: UNE EXCELLENTE BO (A moins que vous n’aimiez Britney Spears comme Stephane).

. casting & equipe technique

. Commentaire de l’equipe du film en VO – le réalisateur Michael Rymer, producteur Jorge Saralegui &e compositeur Richard Gibbs reviennent sur le film de manière précise et leur infos demeurent de qualité. Dommage que les 3 protagonistes ne soient pas vraiment à la fête ainsi on a le droit à pas mal de blanc. Pour corser le tout, Warner n’a pas pris soin de le sous-titré !!! YEN A MARRE!!!!

Scènes inedites (2.35 / 32’15 VOST) – inroduite par un texte explicatif.
scène montrant le temps qui passe pendant le sommeil de Lestat au debut du film avec la narration de celui ci en voix off./ Jesse rêve et se rapelle de sa rencontre avec 1 vampire petiote / Scène plus longue où Marius & Lestat conversent sur la plage / On voit Jesse marcher puis arriver au Pub où les vampires se retrouvent / Scène où on voit un groupe jouer de la sic / AU debut du film Roger arrive avec 2 groupies qui serviront de « repas », on voit des plan en plus montrant Lestat prendre dans la poche de Roger de l’ail / On voit jesse dans l’avion rever de la reine des vampires pendan tque Lestat ecoute de la sic , on voit ensuite le groupe de Lestat se regarder sur video / Apres le message de Lestat via grand ecran, on voit les vampires se préparer / On voit Marius retrouver les « anciens » avant d’aller au concert / la danse d’Akasha au bar est présenté dans une version plus longue / plus de dialogues entre Lestat et Jesse quand celle-ci se fait passer pour une groupie / A l’origine est enlevé par Mael et amené à Maharet, apres leur conversation elle ecrit une lettre / On voit le groupe de Lestat converser puis les fans attendant le concert sous les yeux des « anciens ».

. Documentaires –

Les coulisses (9’47 VOst) – un making of avec interviews s’attardant sur divers aspects: efx, costumes, maquillage etc.

A la memoire d’Aaliyah (3’09 VOst) – un hommage à la chanteuse/actrice disparu peu après le trounage. Pas trés fin cette hommage..

Interviews (11’34 VOST) – en fait ce doc se nomme The music Of Lestat il revient sur la création de la musique du film.

. Clips video – 3 video clips de LEstat (qu’on voit partiellement dans le film) réalisé pour le film. : Redeemer / Forsaken / System et le clip de Static X  » Cold. »

. Scènes de concert: Il s’agit de 2 lors du du concert dans le film présenté ici en version integrale: « Not meant for me » & « slept to song »

. betisier (2’44) – sous fond musical des prises ratés sympathique.

. Galerie de photos
. BA en VO (2.35)

Globalement de qualité, bien définie avec un bon niveau de détails. Les couleurs recherchés sont bien retranscrites, les contrastes satisfaisants & les noirs ne manquent pas de profondeur. La compression tient relativement bien le coup. Des fourmillements sont à signaler.

En VO ou VF, du dolby digital qui fait preuve d’une bonne dynamique. Les canaux surround s’en donnent à coeur joie que ce soit au niveau des ambiances ou des effets. le rendu de la trame musicale (rien qu’au niveau des basses) est ainsi excellent. Niveau dialogues c’est clairs.

La prophétie des ombres

Publié 20 août 2014 par ericmatthiou

De par son précedent film, l’excellent Arlington Road, on pouvait s’attendre à une bonne surprise (et ce malgrès la présence de Richard Gere) de la part du réalisateur Mark Pellington d’autant que le concept de depart était intéressant.

La prophétie des ombres

Manque de bol, c’est pas le cas.

Le réalisateur ne réussi pas vraiment à creer l’atmosphère adequate et a tendance à verser dans le répétitif, point de frissons non plus et c’est pas l’accroche « d’après une histoire vraie » (ouais à d’autre) ou la fin prévisible -mais spectaculaire tout de même- qui change la donne.

Si vous avez du temps à perdre..

. Documentaire (45′ VOST) – un documentaire interessant qui revient essentiellement sur le mysterieux Homme papillon et ses apparitions de part le monde ainsi que sur les evenements ayanr inspiré le film. Interviews/images à l’appuie (egalement des extraits du film). A voir àprés le film sous peine de gacher le suspens pour le final.

. Galerie de photos

. Making Of promotionnel (10’38 / VOST) avec interviews, image de tournage et extraits du films.

. Ba de Prophetie des ombres (VF/VOst / 1’26), la princesse du desert (1’48), Riders (1’56) & Gangs of New York (2’20)

De qualité, les couleurs sont bien retranscrites, la défintion est pointue, les contrastes élégants et les noirs accrocheurs. Quelques légers fourmillements à signaler.

En Vf ou VO, Des pistes dolby digital 5.1 qui font preuve de clareté rien qu’au niveau des dialogues, pour ce qui est des effets, il y en a quelques uns de bien placé notamment le final où les enceintes surround s’en donnent à coeur joie.

La Plus grande histoire jamais contée

Publié 16 juillet 2014 par ericmatthiou

Cette grosse production réalisé par George Stevens (a noter que Jean Negulesco & David Lean ont egalement apporté leur contribution mais reste non crédités au générique) ravira certainement les amateurs de fresque biblique.

La Plus grande histoire jamais contée

Et celà même si on lui reprochera d’être malheureusement quelque peu écrasé par son casting (avec un nombre impressionnant de caméos dont John Wayne!!).

A noter que c’est à cause de ce film que Telly Savalas s’est rasé la tête.

. BA en VO, Question: où sont passé les nombreux bonus (2 DVD) du zone 1???

Restauré pour l’occasion, la copie est proposé est des plus correcte pour un film de cette époque même si au niveau rendu couleur c’est pas franchement ca, sinon la definition reste fort convenable & les contrastes des plus honorables. Compression honnête.

Si le remixage en dolby digital 5.1 (dont profite bien la musique) de la VO a le mérite d’être limpide, celui de la VF n’en a que le nom, en effet tout ce passe à l’avant et au fianl on a l’etrange impression d’avoir affaire a du mono. Pas glop!

La petite sirène 2 – Retour à l’océan

Publié 16 juillet 2014 par ericmatthiou

La petite sirène 2 - Retour à l'océan

Ariel qui connait les sentiments de vengeance de Morgane la pieuvre, soeur d’Ursula (la méchante du premier opus), cache à sa fille Mélodie le secret de ses origines. Malgré tous ses efforts pour l’éloigner de l’océan, Mélodie finira par découvrir ce secret bien gardé …
Contrairement au Roi Lion II qui suscitait un certain intérèt grâce à un scénario bien construit, ce second opus des aventures de la petite sirène est bien moins inspiré.
Les personnages restent les mêmes avec, en plus, Mélodie la fille, un morse sympa et un pingouin pour apporter un petit coup de neuf. Cela ne suffit pas à rendre ce dessin-animé vraiment accrocheur.
Les musiques s’enchainent, la réalisation et l’animation sont moins soignées que l’original. Dommage …
Cependant, cela reste un moment divertissant pour les tout petits …

Un making-Of exploitant le casting pour la voix française de Mélodie, les bandes-annonces de Tarzan, Fantasia 2000, La Belle et le Clochard II et Toy Story II (que de suites !), l’histoire du film à raconter aux chères petites têtes blondes et un quizz de 16 questions.

Très belle et lumineuse, seul regret : le format 4/3. Mais c’est la dure loi des Direct-to-video …

Pas flamboyant mais cependant très correct.

La Nuit du Chasseur

Publié 16 juillet 2014 par ericmatthiou

Dans l’Ohio, en 1930. Harry Powell, un prêcheur itinérant et fanatique, qui porte tatoué sur les phalanges les mots LOVE et HATE, a déjà plusieurs meurtres à son actif : de riches veuves dont il s’est approprié la fortune. Arrêté pour un simple vol, il partage la cellule de Ben Harper, un condamné à mort qui a tué un homme en dérobant dix mille dollars dans une banque. Powell ne parvient à lui faire avouer ou il a dissimulé son butin. C’est un secret que John et Pearl, les deux enfants de Ben, sont les seuls à connaître. Après l’exécution de Harper, Powell, libéré, se rend chez Willa, sa veuve, et après l’avoir épousée, cherche en vain ou le trésor est caché …

La Nuit du Chasseur

Sublime film de suspense, ce thriller dont l’histoire est basée sur une trame des plus simples est et restera un grand classique par la qualité de sa réalisation ainsi que par ses partis pris esthétiques. Chef d’œuvre de mise en scène le film est un vibrant hommage au cinéma expressionniste Allemand de Fritz Lang et Murnau ( pour le travail sur la photographie et l’utilisation du Noir & Blanc en plein essor du cinémascope – couleur ) ainsi qu’au réalisateur D.W. Griffith pour le formidable travail de mise en scène et l’importance qu’elle a au sein même du film.

Charles Laughton a littéralement sublimé l’histoire du film ( presque comme s’il avait su que ce serait sa première et dernière réalisation ), sa mise en scène en devient plus importante que le sujet même du film et le place directement dans les plus beaux films jamais réalisés. Les Choix qu’il fait en compagnie de S. Cortez confère au film une poésie, une magie et une sorte d’irréalisme qui touche presque au fantastique.

Il est également impossible de parler du film sans aborder la qualité du jeu de Robert Mitchum complètement transfiguré et habité par ce rôle de prêcheur fou, il confère à son personnage une remarquable incarnation du mal tout en subtilité et pourtant il s’avère être totalement terrorisant. L’un de ses meilleurs rôles.

Ce film fut pourtant un échec lors de sa sortie en salles mais depuis il ne cesse de d’exercer une véritable fascination sur les spectateurs.

Bref un très grand film, d’une beauté rare à (re)découvrir de toute urgence

Coté bonus, un tel chef d’œuvre méritait largement mieux, juste une petite bande annonce ( en VO de surcroît ) et c’est tout, rien d’autre à se mettre sous la dent, pour un film aussi reconnu cela s’avère très frustrant.

A noter tout de même un bel effort sur les menus fixes qui sont d’une réelle qualité visuel, à la fois sobres et beaux.

Le Film nous est présenté ici au format 1.33.

Le dvd nous propose une image d’un très bonne tenue, le très beau Noir & Blanc est riche en contrastes. La Définition est quasiment impeccable et rend hommage au superbe travail de la photo par Stanley Cortez, la copie proposée est très largement correcte. Reste quelques petits problèmes de compression surtout sur les arrières plans et un léger manque de stabilité de l’image au début du film. Mais vu l’age du film ( 1955 ) c’est du très bon travail et on peut profiter pleinement de sa richesse visuelle.

Coté son, il vous faudra privilégier sans aucune hésitation la piste VO anglaise. En effet ce mono se révèle assez riche, très propre pas de souffle à dénoncer, des dialogues clairs et une bonne ampleur sur la musique.

La Version française ( même si elle s’avère être également propre ) souffre d’être plus étouffée et surtout d’être moins précise au niveau des dialogues. La Qualité du doublage est pour une fois de bonne facture mais ce film se doit d’être découvert en version originale.

La momie – Classic Monsters

Publié 16 juillet 2014 par ericmatthiou

La momie - Classic MonstersPhotographe de films expressionnistes trés estimables allemands & Monteur de Dracula (1931), Karl Freund réalise -sans trop en faire sa réalisation est trés efficace comme quoi pas besoin d’un deluge d’EFX pour faire un bon film hein? non? ah bon..- en 1932 ce classique qui engendra en son temps et aujoud’hui encore une serie (les films de Sommers) de film sur « la Momie ».

On retiendra, plus qu’autre chose, l’interpretation haut de gamme de Boris Karloff en Imhotep (bien mise en valeur par le travail d’éclairage de Freud).

Un classique qui reste toujours aussi agréable à regarder et disons le quasi-indispensable pour les fans du genre.

Commentaire sur le film par l’historien de cinema PM Jensen (VOST) – Un commentaire pas franchement indispensable (on s’ennuie par moment) mais qui offre tout de même une quantité non negligeable d’informations sur le film et qui, de ce fait, pourra en interesser plus d’un.

Momie adorée (30’10 / VOST ) – Un documentaire detaillé trés interessant par son contenu et qui revient entre autre sur les origines du film, anecdotes etc. Indispensable!!!

. Affiche & photos / BA du film.

Pour un film datant de 1933, il ya de quoi être satisfait par le rendu même si le master a subi les affres du temps (tâches etc.) et qu’on aurait aimé de fait, une restauration digne de ce nom. M’enfin bon le N&B présenté demeure correct avec des contrastes qui tiennent assez bien la route.

Une VO mono auquel il ne faut pas attendre grand chose.